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L’athlète transgenre italienne Valentina Petrillo n’a pas réussi à atteindre la finale du 400 mètres féminin T12 pour coureurs malvoyants après avoir terminé troisième de sa demi-finale aux Jeux paralympiques lundi.
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Petrillo, 50 ans, a réalisé son meilleur temps personnel de 57,58 secondes lors de la deuxième demi-finale, mais a terminé derrière l’Iranienne Hajar Safarzadeh Ghahderijani et la Vénézuélienne Alejandra Paola Perez Lopez, qui se sont toutes deux qualifiées pour la finale de mardi.
Petrillo avait auparavant couru la quatrième série du premier tour en 58,35 secondes, se qualifiant ainsi pour la demi-finale ultérieure.
À 14 ans, Petrillo a été diagnostiquée d’une maladie de Stargardt, une maladie de la rétine qui entraîne une perte progressive de la vision. Petrillo a alors arrêté de courir, même si son rêve de participer à des compétitions a été éveillé par la médaille d’or du 200 mètres de l’athlète italien Pietro Mennea aux Jeux olympiques de 1980.
L’apparition de Petrillo intervient quelques semaines après que la médaillée d’or olympique de boxe Imane Khelif, d’Algérie, ait été soumise à une surveillance intense après de fausses allégations sur son sexe. Son histoire est devenue l’une des plus importantes des Jeux d’été.
Petrillo, âgée de 50 ans, a commencé sa transition en 2019, mais participe à des compétitions paralympiques depuis l’âge de 41 ans. Elle a remporté des médailles de bronze aux championnats du monde de 200 et 400 en 2023 avec des temps respectifs de 26,31 et 58,24.
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