Nous savons enfin à quoi aurait ressemblé le Martian Manhunter de George Miller dans Justice League Mortal

Martian Manhunter

Basé sur Mark Waid La tour de Babel scénario et écrit par Kieran Mulroney et Michele Mulroney, Mortel Le film aurait dû compter Armie Hammer dans le rôle de Batman, Adam Brody dans celui de Flash, DJ Cortana dans celui de Superman, Megan Gale dans celui de Wonder Woman, Common dans celui de Green Lantern et Santiago Cabrera dans celui d’Aquaman. Le film a vu l’équipe se rassembler pour lutter contre Talia al Ghul (Teresa Palmer) et Maxwell Lord (Jay Baruchel). Mortel également inclus des aspects du grand Crise infinie croisement de bandes dessinées se produisant à l’époque, y compris le tour de Max Lord contre les héros et l’utilisation du robot de surveillance de Batman, Brother Eye.

Cela dit, le design de McMullen prend quelques libertés. Au lieu du logo circulaire que J’onn utilise souvent, la version cinématographique a plutôt une icône ailée, ressemblant davantage à quelque chose de Star TrekL’Empire Stellaire Romulien. De plus, il semble y avoir d’étranges lettres sous le logo, et peut-être le long de ses bras et de ses côtes, suggérant une langue martienne.

Aucun de ces changements ne dérangerait même le fan le plus dévoué de Martian Manhunter, surtout quand ils voient le visage. Keays-Byrne donne au personnage une tristesse et une dignité, sans jamais sacrifier sa nature extraterrestre. Dans les meilleures histoires de Manhunter, J’onn porte le poids de la perte de son peuple tout en ressentant de la sympathie pour l’humanité, même s’il ne peut pas vraiment les comprendre.

Bien qu’il ne soit pas clair si Ligue des Justiciers : Mortel aurait pu fonctionner (le casting d’Armie Hammer n’a pas bien vieilli), il ne fait aucun doute que Keays-Byrne aurait fait un excellent Martian Manhunter. Keays-Byrne a un niveau de théâtralité nécessaire pour ce type de personnage, tout en conservant une certaine empathie.

Malheureusement, cette version du Manhunter a disparu, ne laissant que des traces de ce qui aurait pu être.

Source-120