La femme à la jupe violette


La version suivante de ce livre a été utilisée pour créer le guide : Imamura, Natsuko. La femme à la jupe violette. Penguin Random House LLC, 2021.

Le roman La Femme à la jupe violette de Natsuko Imamura est écrit à la première personne, au passé comme au présent. Le roman est divisé en sections sans titre et sans numéro. Le résumé suivant utilise le présent et un format linéaire.

La narratrice à la première personne, ou la femme autoproclamée au gilet jaune, commence à remarquer une femme dans son quartier. Elle l’appelle la femme à la jupe violette, car elle porte toujours une jupe violette. Séduite par l’aura énigmatique de la femme, la narratrice commence à la suivre et à l’observer. Elle lui est familière d’une certaine manière, mais la narratrice n’arrive pas à décider à qui elle ressemble.

Plus la narratrice en apprend sur la femme, plus elle a envie de se lier d’amitié avec elle. Cependant, elle ne pense pas qu’il serait naturel de s’approcher d’elle et de se présenter. Elle sait que la femme à la jupe violette est actuellement au chômage et pense que si elles étaient collègues, elles auraient plus de chances de faire connaissance.

La narratrice commence à faire défiler les annonces pour un emploi de femme de ménage dans l’hôtel où elle travaille, et laisse les annonces à des endroits où la femme à la jupe violette les trouvera. Finalement, la femme appelle l’hôtel et prend rendez-vous pour un entretien. La narratrice pense que la femme devrait se préparer si elle veut être embauchée, et laisse ses shampoings floraux devant son appartement. Lorsque la femme obtient le poste, la narratrice est convaincue que c’est grâce à ses shampoings.

Une fois que la femme et le narrateur commencent à travailler ensemble à l’hôtel, la narratrice oublie de se présenter. Au lieu de cela, elle continue à traquer la femme tout au long de ses journées de travail. Elle remarque à quel point le reste du personnel aime la femme à la jupe violette et se sent jaloux. Ils lui disent même qu’il est normal de prendre les commodités de l’hôtel et l’invitent à leurs réunions sociales. Pendant ce temps, personne ne remarque la narratrice, et quand ils le font, ils la traitent avec mépris.

Un jour, la narratrice entend une rumeur selon laquelle la Femme à la jupe violette aurait une liaison avec le directeur de l’hôtel. Déterminée à savoir si c’est vrai, elle suit la Femme pendant son jour de congé. Elle et le directeur passent toute la journée ensemble.

La narratrice se sent frustrée que leur relation porte atteinte à ses chances de rapprochement avec la Femme. Au même moment, elle se rend compte que les autres femmes de ménage sont également frustrées par la Femme. Puis l’hôtel annonce qu’une série d’articles ménagers ont disparu de l’hôtel. Les autres femmes pensent que si le directeur n’était pas si distrait par sa liaison avec la Femme, il aurait le temps de les défendre auprès du gérant. Elles commencent à attaquer et à réprimander la Femme, l’accusant même d’avoir volé les objets. La Femme à la jupe violette nie et s’enfuit de l’hôtel.

Plus tard dans la nuit, le narrateur rôde dans l’appartement de la Femme, attendant que quelque chose se passe. Le réalisateur arrive, monte les escaliers extérieurs menant à l’appartement de la Femme et insiste pour qu’elle le laisse entrer. La Femme est furieuse et blessée d’avoir récemment emmené sa femme en voyage et refuse de le laisser entrer. Ils se disputent dans le couloir. Le réalisateur accuse la Femme d’avoir volé les articles ménagers. En colère, la Femme commence à frapper le réalisateur. Il trébuche en arrière et tombe à travers la rampe rouillée.

La narratrice sort de l’ombre et se précipite aux côtés de la Femme. Elle lui dit qu’elle a un plan pour qu’elles s’échappent ensemble. Bien que la Femme à la Jupe Violette soit confuse, elle finit par suivre le conseil du narrateur et s’en va. Lorsque le narrateur essaie plus tard de rencontrer la Femme selon le plan, la Femme a disparu.

Le narrateur est toujours à la recherche de la Femme, occupant son banc habituel dans le parc, et espérant son retour.



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