Témoin


« Témoin » de Liz Waldner est le dernier poème de la cinquième section (« Triangle ») de l’œuvre d’inspiration euclidienne de Waldner. Un point est ce qui n’a pas de partie (2000), qui suit des sections intitulées « Point », « Ligne », « Cercle » et « Carré ». Développant une métaphore étendue qui compare l’arrivée de l’aube (et du nouveau jour) à un cheval sauvage, « Témoin » illustre ce qui est le plus fort dans la poésie de Waldner : la diction, l’intellectualisme et une appréciation de la science et de la nature. La combinaison de la poésie et de la science caractérise une grande partie de la poésie de Waldner. Dans ses œuvres ultérieures Sauver les apparences (2004), par exemple, elle utilise l’idée de Platon, qui a été appliquée plus tard par Copernic, selon laquelle il existe un esprit fondamental qui relie le monde empirique (ses apparences) et les révélations qu’il provoque.



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