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Nombre élevé de Canadiens au chômage de longue durée
TORONTO, 14 août 2024 (GLOBE NEWSWIRE) — Les chercheurs d’emploi canadiens sont plus pessimistes quant à leurs possibilités d’emploi, ce qui indique qu’ils ont perdu l’avantage sur le marché du travail qu’ils avaient au cours des dernières années au profit des employeurs, selon un nouveau sondage d’Express Employment Professionals-Harris Poll.
Plus de la moitié des demandeurs d’emploi (57 %) estiment qu’il sera difficile de trouver un emploi au cours des six prochains mois. On constate également une baisse significative du nombre de demandeurs d’emploi qui estiment qu’il y a plus d’opportunités d’emploi dans leur domaine par rapport à il y a un an (seulement 20 % actuellement, contre 27 % à l’automne 2023 et 33 % au printemps 2023). En effet, davantage de demandeurs d’emploi estiment désormais qu’il y a globalement moins d’opportunités d’emploi (38 % actuellement, contre 31 % à l’automne et au printemps 2023).
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De plus, de nombreux Canadiens au chômage sont confrontés à des périodes de chômage plus longues, près de 2 chercheurs d’emploi sur 5 (38 %) déclarant être au chômage depuis plus de deux ans.
Les principales causes de chômage sont le départ volontaire de l’employé (18 %), le licenciement (15 %) et le licenciement ou le renvoi (10 %). Les raisons invoquées pour quitter l’entreprise sont le déménagement (49 %), l’épuisement professionnel (21 %), la recherche d’un emploi mieux rémunéré (16 %), la recherche d’un emploi avec de meilleurs avantages sociaux (16 %) et le fait de ne pas aimer la culture de l’entreprise (15 %).
Un autre signe que le marché du travail a changé est que, si la plupart des chercheurs d’emploi souhaitent accepter des postes à temps plein (80 %), ils sont désormais plus disposés à accepter des postes à temps partiel (47 % contre 38 % au printemps 2023), des postes temporaires ou saisonniers (28 % contre 16 % au printemps 2023) ou même des postes inférieurs à leur niveau de rémunération le plus récent (15 % contre 7 % au printemps 2023).
Même ceux qui travaillent actuellement et qui recherchent de nouvelles opportunités d’emploi s’inquiètent de l’état du marché du travail.
Parmi leurs principales craintes concernant leur emploi actuel, les demandeurs d’emploi en emploi citent le fait de ne pas obtenir l’augmentation qu’ils méritent (47 %), un ralentissement des opportunités d’emploi en raison de la conjoncture économique (32 %), la réduction des effectifs par leur entreprise en raison du climat économique (27 %) et le remplacement de leur poste par l’IA/la technologie (23 %, ce qui représente une augmentation significative par rapport aux 12 % du printemps 2023). En outre, plus de la moitié des demandeurs d’emploi en emploi (53 %) ont déclaré avoir travaillé plus d’heures et plus de quarts que d’habitude au cours de l’année écoulée, soit une forte augmentation par rapport aux 37 % de l’automne 2023.
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Il n’est donc pas surprenant que les raisons les plus courantes pour lesquelles les Canadiens employés recherchent un nouvel emploi soient de trouver une meilleure rémunération (46 %), un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie privée (44 % contre 35 % au printemps 2023) et de meilleures opportunités de croissance dans leur domaine actuel (43 % contre 30 % au printemps 2023).
Définition d’un emploi et d’une carrière
Les demandeurs d’emploi en poste travaillent dans leur entreprise depuis 7,5 ans en moyenne (en baisse par rapport à l’ancienneté moyenne de 8,9 ans au printemps 2023) et un quart travaillent dans leur entreprise depuis plus de 10 ans (24 %).
Cependant, même si de nombreux demandeurs d’emploi enregistrent de longues années d’ancienneté dans leur entreprise, les demandeurs d’emploi sont divisés sur la question de savoir s’ils décrivent leur emploi actuel comme ayant un emploi (c’est-à-dire le travail que je fais pour gagner de l’argent pour subvenir à mes besoins et mes désirs) (51 %) ou comme ayant une carrière (c’est-à-dire une occupation ou une profession à long terme qui me permet non seulement de gagner de l’argent pour subvenir à mes besoins et mes désirs de base, mais aussi d’apprécier et d’en être fier) (49 %).
Les demandeurs d’emploi ayant un emploi partagent plusieurs raisons pour lesquelles ils affirment que leur emploi n’est qu’un travail, notamment :
- « Aucune possibilité d’avancement ou d’augmentation de salaire… juste un rouage dans la machine. » – Une demandeuse d’emploi de 47 ans
- « C’est quelque chose que je fais pour gagner de l’argent. Même si je suis là depuis longtemps et que je compte y rester jusqu’à ma retraite, cela ne définit pas qui je suis. » – Demandeur d’emploi de 51 ans
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D’autres chercheurs d’emploi considèrent les carrières comme des emplois dans lesquels ils s’investissent personnellement, ont un sens de l’expertise, correspondent à ce qu’ils ont étudié ou ont le sentiment d’apporter une contribution significative. Plus précisément, ils disent :
- « J’ai très tôt décidé de suivre cette voie professionnelle. J’ai orienté mes études et mes premières expériences professionnelles vers cette voie. J’aime ce métier parce que c’est ce que je veux faire. » – Demandeur d’emploi de 56 ans
- « C’est un travail auquel je crois et auquel je pense que je suis indispensable. Il offre des objectifs et des avantages à long terme. » – Demandeur d’emploi de 48 ans
- « Mon travail a un impact significatif sur ma vie et sur celle des autres. » – Un homme de 36 ans à la recherche d’un emploi
« Chaque emploi a un but et peut être le premier pas vers une carrière enrichissante », a déclaré Bill Stoller, PDG d’Express Employment International. « Pour ceux qui ne se sentent pas épanouis dans leurs tâches quotidiennes, il faut commencer dès aujourd’hui à apporter des changements positifs. Grâce à la disponibilité généralisée des certifications et formations en ligne, investissez dans la reconversion et transformez votre emploi en une carrière épanouissante. »
Méthodologie de l’enquête
Le rapport sur les chercheurs d’emploi a été réalisé en ligne au Canada par The Harris Poll pour le compte d’Express Employment Professionals entre le 28 mai et le 10 juin 2024, auprès de 505 adultes âgés de 18 ans et plus.
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Pour connaître les méthodologies d’enquête complètes, veuillez contacter Ana Curic au [email protected].
Si vous souhaitez organiser une entrevue pour discuter de ce sujet, veuillez contacter Ana Curic au
(613) 858-2622 ou par courriel [email protected].
À propos de Bill Stoller
William H. « Bill » Stoller est président-directeur général d’Express Employment International. Fondé à Oklahoma City, dans l’Oklahoma, le franchiseur international de recrutement soutient la franchise Express Employment Professionals et les marques associées. La marque de franchise Express est une société de recrutement internationale leader du secteur avec des franchises aux États-Unis, au Canada, en Afrique du Sud, en Australie et en Nouvelle-Zélande.
À propos d’Express Employment Professionals
Chez Express Employment Professionals, nous nous occupons des personnes. Des demandeurs d’emploi aux entreprises clientes, Express aide les personnes à s’épanouir et les entreprises à se développer. Notre réseau international de franchises offre des solutions de dotation en personnel localisées aux communautés qu’il dessert aux États-Unis, au Canada, en Afrique du Sud, en Australie et en Nouvelle-Zélande, employant 492 000 personnes dans le monde en 2023 et plus de 11 millions depuis sa création. Pour plus d’informations, visitez le site ExpressPros.com/CA.
Une photo accompagnant cette annonce est disponible à l’adresse https://www.globenewswire.com/NewsRoom/AttachmentNg/6da82191-7d49-47ed-9af0-d1cb26247a4b
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