De nouvelles accusations contre un ancien conducteur de train accusé de falsification de la voie

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Un ancien chef de train accusé d’avoir altéré les voies ferrées dans le sud-ouest de l’Ontario fait face à de nouvelles accusations pour avoir enfreint ses conditions de libération à deux reprises, selon les dossiers judiciaires.

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Wael El-Ghadban, 36 ans, a été arrêté le 1er février à la suite d’une enquête de la Police provinciale de l’Ontario sur plusieurs actes de méfait sur les voies ferrées des comtés de Middlesex et d’Oxford.

Il est accusé de méfait mettant en danger la vie humaine pour avoir prétendument endommagé « les voies de manœuvre du CN à Middlesex Centre, Zorra Township et London en connectant des fils entre les rails d’une voie ferrée », selon les documents judiciaires.

Après avoir passé six jours en détention, El-Ghadban a été libéré sous caution avec des conditions qui lui interdisaient l’accès aux propriétés du CN, lui ordonnaient de ne pas posséder d’outils sauf pour le travail et lui imposaient de vivre avec sa caution, indiquent les documents.

El-Ghadban fait face à des accusations supplémentaires pour avoir omis de se conformer à une condition de mise en liberté à deux reprises à Ottawa, où il vit actuellement, selon les documents. Il est accusé d’avoir été sur la propriété du CN sans sa caution le 2 mars et d’avoir quitté sa maison sans sa caution le 15 mars. El-Ghadban a passé trois jours en détention avant d’être à nouveau libéré sous caution.

Deux employés du CN ont déclaré au Free Press qu’El-Ghadban avait travaillé comme chef de train pour la compagnie ferroviaire basée à Montréal à Sarnia et à London avant d’être accusé. Les deux travailleurs ont demandé à ne pas être identifiés car aucun des deux n’était autorisé à parler aux médias. Le CN a refusé de confirmer si El-Ghadban était un employé.

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