Les emplois fantômes et le fait d’être « fantôme » sont les principales plaintes des personnes à la recherche d’un emploi

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Les « emplois fantômes » semblent être devenus un problème plus important pour les personnes qui postulent à un emploi : 48 % d’entre elles déclarent avoir été « fantômes » par un employeur au cours du processus d’entretien, selon une enquête récente.

Les offres d’emploi pour des postes inexistants ou déjà pourvus, ou emplois fantômes, ont dépassé la « recherche d’un emploi avec un salaire qui répond à leurs besoins » comme le plus grand défi auquel sont confrontés les candidats à un emploi, selon une enquête réalisée aux États-Unis par les sites de carrière FlexJobs et MyPerfectResume.

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Parmi ceux qui ont déclaré avoir été « fantômes » par un employeur, 15 % ont vécu cette expérience au moins une fois, tandis que 33 % ont déclaré que cela leur était arrivé plus d’une fois.

En mai, le gouvernement de l’Ontario annoncé il prendrait des mesures sévères contre ce qu’il décrit comme des « employeurs exploitants » en proposant des changements législatifs qui décourageraient les demandeurs d’emploi de faire du ghosting en augmentant les amendes pour les violations des normes du travail.

« Nous envoyons un message clair aux mauvais employeurs : tout mauvais comportement entraîne de réelles conséquences », avait déclaré à l’époque le ministre du Travail de l’Ontario, David Piccini.

L’enquête de FlexJobs a interrogé plus de 2 000 professionnels basés aux États-Unis entre le 11 et le 23 juin sur leurs décisions de carrière et leurs défis lors de leur recherche d’emploi dans le paysage professionnel actuel.

Les autres problèmes majeurs cités par les demandeurs d’emploi comprenaient l’obtention de réponses aux candidatures, la reconnaissance et l’évitement des escroqueries à l’emploi et la recherche d’emplois correspondant à leurs qualifications.

L’enquête a également demandé aux répondants s’ils avaient déjà fait du ghosting auprès d’une entreprise une ou plusieurs fois au cours du processus d’entretien. Seuls 10 % ont répondu par l’affirmative, tandis que 90 % ont déclaré ne l’avoir « jamais » fait, selon l’enquête.

Environ 67 % des personnes interrogées ont cité le manque de professionnalisme des responsables du recrutement comme l’une des principales raisons qui les inciteraient à quitter une entreprise ou à abandonner le processus d’entretien.

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Parallèlement, 61 % ont cité le manque de communication et 60 % ont déclaré que les modalités de travail à distance peu claires, telles que les postes annoncés comme étant à distance mais qui sont en réalité hybrides ou au bureau, comme autres facteurs importants.

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