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L’histoire d’Amos Tutuola « Le sorcier du village » a été initialement publiée dans le cadre du roman de 1967 Ajaiyi et sa pauvreté héritée et puis comme histoire-titre de son recueil de 1990, Le sorcier du village et autres histoiresTutuola est connu comme le premier écrivain africain à avoir acquis une renommée internationale. Cette histoire est l’une des nombreuses histoires librement inspirées des contes populaires yoruba de la tradition orale, que Tutuola a entendus lorsqu’il était enfant. La forme non standard de l’anglais écrit par Tutuola, sa première langue étant le yoruba, a été controversée en raison de ses erreurs grammaticales et de son manque apparent de sophistication, ce que Dylan Thomas a appelé dans une appellation controversée de « nouvel anglais ».
« Le sorcier du village » raconte l’histoire d’Aro, un homme issu d’une famille riche, et de son ami Osanyin, un sorcier. Après qu’Aro ait demandé à Osanyin de l’aider à enterrer sa fortune héritée, le sorcier retourne déterrer la fortune et l’enterre dans son propre sanctuaire. À la suite de ce vol, dont Aro ne découvre jamais qu’il a été perpétré par son ami le sorcier, Aro meurt dans la pauvreté. Cette « pauvreté héritée » est transmise à son fils, Jaye, et, finalement, à son petit-fils, Ajaiyi. À chaque génération, la famille devient de plus en plus pauvre. Dans un état de pauvreté abjecte, Ajaiyi se rend chez le sorcier pour lui demander conseil sur la façon d’échapper à sa pauvreté. Osanyin lui conseille de placer neuf béliers dans neuf sacs sur la tombe de son père, en échange du retour de sa fortune par son père décédé. Le sorcier vole ensuite les six premiers béliers de la tombe et les découpe pour les manger. Cependant, Ajaiyi trompe le sorcier en se cachant dans l’un des trois derniers sacs et en sautant avec une machette pour exiger le retour de sa fortune familiale.
Cette histoire aborde les thèmes de l’héritage, de la richesse et de la pauvreté, comme le montrent les références répétées à la « pauvreté héritée » de la famille et l’insistance trompeuse du sorcier qui affirme que si Ajaiyi suit ses conseils, il deviendra un « homme d’argent » ! Le thème de la tromperie et de l’intelligence est également présent dans l’histoire, car le sorcier trompe d’abord habilement trois générations d’hommes pour leur voler leur fortune familiale, puis Ajaiyi trompe habilement le sorcier pour qu’il rende la fortune à ses propriétaires légitimes.
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