Critique de Sunny

Critique de Sunny

Félicitations à la star de Sunny et productrice exécutive Rashida Jones pour avoir convaincu Apple et A24 de l’emmener en vacances japonaises tous frais payés. Dommage que ce soit le cas. Parcs et loisirs la star est revenue à la maison pour montrer qu’il s’agit d’un thriller de science-fiction élégant, 10 épisodes laborieux qui gaspillent une prémisse intrigante sur quelqu’un qui vous met au défi avec succès de ne pas vous soucier d’elle.

Dans cette adaptation du roman de Colin O’Sullivan The Dark Manual, Jones incarne Suzie Sakamoto, une expatriée basée à Kyoto qui vient d’apprendre que son mari Masa (Conduire ma voitureHidetoshi Nishijima et son fils Zen (Fares Belkheir) sont morts dans un mystérieux accident d’avion. Ou est-ce vraiment le cas ? Tout semble intéressant dès le début : Suzie est une personne ordinaire plongée dans une situation extraordinaire, dont la tragédie pourrait en fait faire partie d’une conspiration. Elle commence à avoir des doutes, surtout lorsqu’elle appelle le téléphone de Masa et, au lieu d’aller directement sur la messagerie vocale, la sonnerie continue.