vendredi, janvier 3, 2025

La Case de l’oncle Tom

[ad_1]

Quand La Case de l’oncle Tom ou la vie parmi les humbles Lorsque Harriet Beecher Stowe, auteure de Fugitive Slave Law, a été publiée pour la première fois en 1852, personne ne s’attendait à ce que le livre fasse sensation, mais ce roman antiesclavagiste a pris le monde d’assaut. Il allait devenir le deuxième livre le plus vendu au monde au cours du XIXe siècle, après la Bible, et il a déclenché une vague de critiques et d’éloges. Stowe avait écrit ce roman en réponse à l’adoption en 1850 de la Fugitive Slave Law, qui punissait ceux qui aidaient les esclaves en fuite et diminuait les droits des esclaves fugitifs comme des esclaves libérés. Espérant inciter ses compatriotes américains à protester contre cette loi et contre l’esclavage en général, Stowe a tenté de décrire « l’institution de l’esclavage telle qu’elle existait ». En effet, La Case de l’oncle Tom était presque unique à l’époque dans sa présentation du point de vue des esclaves.

Le roman de Stowe raconte l’histoire de trois esclaves – Tom, Eliza et George – qui commencent ensemble dans le Kentucky, mais dont les vies prennent des tournants différents. Eliza et George, qui sont mariés l’un à l’autre mais appartiennent à des maîtres différents, parviennent à s’échapper vers un territoire libre avec leur petit garçon, Harry. Tom n’a pas cette chance. Il est enlevé à sa femme et à ses enfants. Tom est d’abord vendu à un maître bienveillant, Augustine St. Clare, puis au diabolique Simon Legree, aux mains duquel il rencontre la mort. Stowe s’est appuyée sur des images de la vie domestique, de la maternité et du christianisme pour captiver le cœur et l’imagination de son public du XIXe siècle. Malgré la controverse critique entourant le livre, les personnages de l’oncle Tom, de la petite Eva et de Simon Legree ont tous atteint un statut légendaire dans la culture américaine. Souvent qualifiés de sentimentaux et de mélodramatiques, La Case de l’oncle Tom Il demeure néanmoins un puissant exemple d’indignation morale face à l’inhumanité de l’homme envers l’homme.

[ad_2]

Source link -2

- Advertisement -

Latest