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Quand Parodies apparu sur la scène londonienne en 1974, il renforça rapidement la réputation de Tom Stoppard comme l’un des dramaturges les plus innovants et les plus intelligents du XXe siècle. La pièce se concentre sur la rencontre fictive de trois personnalités révolutionnaires importantes à Zurich en 1917 : le leader communiste Lénine, le poète dadaïste Tristan Tzara et l’auteur moderniste James Joyce. Henry Carr, qui a connu Joyce dans la vraie vie, raconte les interactions du trio à travers sa mémoire peu fiable. La pièce prend la forme d’une farce pleine d’esprit car elle met en valeur, à travers des jeux de mots comiques, le point de vue politique et philosophique de ces trois hommes qui ont tous eu une profonde influence sur leur époque. Les complications humoristiques naissent de malentendus, d’erreurs d’identité et de rebondissements que Stoppard détestait du chef-d’œuvre farfelu d’Oscar Wilde, L’importance d’être sérieux. Alors que Stoppard juxtapose intelligemment les théories de ses trois figures centrales sur le marxisme, le dadaïsme et le modernisme, il aborde des questions complexes sur la nature et la fonction de la politique et de l’art et sur le rôle de l’artiste Anne Wright, dans son article sur Stoppard pour le Dictionnaire de biographie littérairesuggère que Parodiesainsi que ses autres pièces, prouvent que Stoppard est « un artisan qualifié, manipulant avec une grande dextérité et précision des intrigues d’une ingéniosité et d’une complexité extrêmes ».
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