Les rapports de l’ONU et des universitaires montrent que suffisamment de nourriture entre sur le territoire pour répondre aux besoins alimentaires de la population.
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Depuis des mois, le groupe terroriste Hamas et des militants pro-palestiniens du monde entier affirment que la bande de Gaza est confrontée à une famine imminente et accusent Israël d’affamer délibérément les Palestiniens. Pourtant, ce scénario ne s’est jamais concrétisé.
Ces affirmations ont rarement été remises en question et ont plutôt été répétées sans critique par beaucoup trop de médias d’information malléables au Canada et ailleurs, qui ont abandonné leur intégrité journalistique au profit d’un récit facile.
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L’un des principaux éléments à l’appui de l’allégation de famine était un rapport produit en mars par l’Integrated Food Security Phase Classification (IPC), un projet soutenu par les Nations Unies visant à évaluer l’insécurité alimentaire dans diverses régions du monde et partiellement financé par le gouvernement canadien.
Il affirmait qu’une famine était imminente, incitant un haut responsable de l’ONU à un fonctionnaire donne son avis que la prétendue famine était « d’origine humaine » et « entièrement évitable ». Même des organisations humanitaires soi-disant crédibles paresseusement régurgité les affirmations. Sauf qu’il n’y a jamais eu de famine, ni rien de comparable.
Alors que le rapport de l’IPC faisait la une des journaux mondiaux en mars, début juin, l’organisation a produit une étude de suivi curieusement, cela n’a attiré pratiquement aucune couverture médiatique.
Les auteurs de la nouvelle étude, contrairement aux allégations d’une famine imminente, admettent que le rapport de mars « s’appuyait sur plusieurs niveaux d’hypothèses et d’inférences, en commençant par la disponibilité et l’accès à la nourriture dans le nord de Gaza et en passant par l’état nutritionnel et la mortalité ». L’organisation a désormais renoncé à prédire une famine imminente.
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Sans surprise, ces « hypothèses et déductions » se sont révélées être de mauvais indicateurs de ce qui se passait réellement à Gaza. Aujourd’hui, davantage de nourriture entre quotidiennement à Gaza qu’avant le massacre du Hamas du 7 octobre, selon un document de travail produit par des chercheurs de l’Université hébraïque de Jérusalem.
Awi Federgruen et Ran Kivetz, professeurs à l’Université Columbia – experts en logistique, science des données et économie comportementale – récemment examiné l’approvisionnement alimentaire entrant à Gaza et a trouvé de nombreuses preuves selon lesquelles cela « est plus que suffisant pour nourrir les 2,2 millions de Gazaouis selon ce qui est considéré comme un régime alimentaire normal en Amérique du Nord ».
En face de allégations irresponsables d’un procureur de la Cour pénale internationale, qui a allégué qu’Israël « provoque la famine comme méthode de guerre, y compris le refus de l’aide humanitaire », sur la base de simples ouï-dire idéologiques, un examen de l’aide humanitaire réelle entrant à Gaza raconte une histoire radicalement différente.
En plus de l’aide qui arrive à Gaza, il reste de nombreuses terres agricoles disponibles dans la bande. Selon le dernier rapport du Organisation pour l’alimentation et l’agriculture Selon les Nations Unies, environ 75 pour cent des serres de Gaza restent intactes et la plupart des terres cultivées restent utilisables.
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Non seulement il y a peu de preuves suggérant qu’il y a une famine persistante à Gaza, mais il existe une quantité écrasante de données démontrant exactement le contraire : en plus de la nourriture produite localement, d’énormes quantités d’aide humanitaire entrent quotidiennement sur le territoire, merci à Israël.
S’il est certes difficile de glaner des informations précises sur une zone de guerre, comme le souligne le rapport de mars de l’IPC, cela a en quelque sorte donné naissance à des accusations claires et confiantes d’une famine imminente, qui se sont maintenant révélées non étayées par les preuves disponibles.
Il est temps que les médias, les acteurs gouvernementaux, les responsables de l’ONU et les organisations humanitaires qui ont accusé Israël de créer une famine s’excusent désormais et remettent les pendules à l’heure. Le silence est complicité.
Poste National
Mike Fegelman est le directeur exécutif de HonnêteReporting Canadaune organisation à but non lucratif qui assure une couverture médiatique canadienne juste et précise d’Israël.
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