LILLEY : Réponse libérale aux députés travaillant avec des gouvernements étrangers – bouh hoo, surmontez-le !

Les députés libéraux rejettent complètement une question incroyablement grave.

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Le point de vue des libéraux sur la façon de découvrir quels députés travaillent avec des gouvernements étrangers – bouh hoo, surmontez-le.

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Il ne s’agit pas seulement de l’attitude des libéraux, mais aussi d’une citation directe d’un député libéral lors d’une audience en comité jeudi matin. Jennifer O’Connell est députée libérale de Pickering-Uxbridge et secrétaire parlementaire du ministre de la Sécurité publique.

Alors que le député conservateur Frank Caputo interrogeait le ministre de la Sécurité publique Dominic LeBlanc sur la question de savoir quels députés avaient travaillé avec des gouvernements étrangers hostiles, O’Connell a commencé à chahuter. Elle essayait de crier sur Caputo pendant sa brève période de questions avec LeBlanc, ce qui a amené son collègue député conservateur Garnett Genuis à faire appel à la présidence pour s’occuper d’O’Connell qui enfreignait les règles.

« Oh, bouh hoo, surmonte-toi ! » O’Connell a appelé.

Ces paroles, cette attitude exprimée par O’Connell sont révélatrices de toute l’attitude libérale à l’égard de l’ingérence étrangère. Ils luttent contre la divulgation d’informations depuis que cette histoire a été révélée il y a presque deux ans et continuent de lutter contre la divulgation d’informations.

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Mercredi, on a appris que le gouvernement Trudeau avait refusé en tout ou en partie plus de 1 000 documents demandés par le Comité des parlementaires sur la sécurité nationale et le renseignement.

C’est le comité que le gouvernement présente depuis deux ans comme étant le meilleur endroit pour traiter de la question de l’ingérence étrangère. Pourtant, lorsque ce même comité a publié lundi un rapport accablant affirmant que des députés avaient volontairement participé à des ingérences étrangères et travaillé avec des gouvernements étrangers pour promouvoir les intérêts d’un autre pays, les libéraux ont minimisé le rapport, le qualifiant d’incomplet.

Depuis deux jours, les conservateurs demandent au gouvernement de divulguer les noms des députés actuels qui ont été surpris en train de travailler avec des gouvernements étrangers. Mercredi, pendant la période des questions, les libéraux ont fait preuve d’un mépris total à l’égard du Parlement en abordant des sujets sans rapport, comme l’économie, lorsqu’ils ont été interrogés sur certains députés en exercice qui pourraient avoir été impliqués dans une trahison.

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Jeudi matin, au Comité permanent de la sécurité publique et nationale, LeBlanc a subi des pressions de la part de Caputo à plusieurs reprises pour qu’il divulgue les noms des personnes impliquées.

« Alors, les personnes qui sont soupçonnées, et dans certains cas, selon nos communautés du renseignement, d’avoir commis certaines des infractions les plus graves connues par la loi canadienne, êtes-vous prêt à divulguer ces noms ? Oui ou non? » » demanda Caputo.

«Non, monsieur le président», fut la réponse laconique de LeBlanc.

« Vous ne divulguerez pas les noms des députés, des élus, qui siègent à la Chambre des communes. Pensez-vous que les Canadiens ont le droit de savoir oui ou non ? » a demandé Caputo.

« Je pense qu’il est important que les Canadiens comprennent que ces noms sont contenus dans les rapports des services de renseignement. Dans certains cas, il s’agit d’informations non corroborées ou non vérifiées », a déclaré LeBlanc.

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« Donc, l’idée selon laquelle il existe une liste parfaite de noms, entièrement fiable et qui devrait être rendue publique, est tout simplement irresponsable. »

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Nous nous excusons, mais cette vidéo n’a pas pu se charger.

Caputo a poussé LeBlanc encore plus loin en disant que le rapport publié cette semaine n’évoque pas la façon dont le gouvernement l’a fait et que les électeurs méritent de connaître cette information avant de voter aux prochaines élections. LeBlanc n’était pas d’accord et a dit de laisser la GRC examiner cette question, sachant très bien à quel point la GRC est lente et combien il est difficile de porter des accusations sur la base des renseignements.

Justin Trudeau a été informé de l’ingérence étrangère lors des élections de 2021 alors que la campagne était encore en cours. On lui a fait part de ses inquiétudes quant à l’ingérence de la Chine dans la nomination de Han Dong, mais il n’a rien fait pendant l’élection ni après.

Trudeau s’est battu contre toute tentative d’enquêter sur la question de l’ingérence étrangère et contre toute tentative de divulguer davantage d’informations. C’est ce qu’il fait aujourd’hui en refusant de divulguer les noms des députés confrontés à ces allégations.

Le gouvernement prétend que ce n’est pas juste envers ces députés.

Vous savez aussi ce qui n’est pas juste ?

Demander aux électeurs de voter sans connaître cette information.

Les libéraux paieront cher tout cela lors des prochaines élections et tout ce que j’aurai à leur dire, c’est bouh hou, surmontez-le.

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