Merci maman’


La version suivante de cette histoire a été utilisée pour créer ce guide : Hughes, Langston. « Merci maman. » Histoire courte Amérique. https://shortstoryamerica.com/pdf_classics/hughes_thank_you_maam.pdf.

Notez que les citations entre parenthèses font référence au numéro de page à partir duquel la citation est tirée.

« Merci, madame » commence par la description par l’orateur d’une femme avec un grand sac à main qui « contenait tout sauf un marteau et des clous » (1). Une nuit, alors que la femme rentre chez elle à pied, un jeune garçon tente de lui voler son sac à main. Il est renversé sous le poids du sac à main et la femme lui donne un coup de pied dans les fesses. Elle le soulève par sa chemise et lui dit que son visage est sale et qu’elle va lui laver le visage ce soir. Elle lui dit qu’une fois qu’elle en aura fini avec lui, il se souviendra de Mme Luella Bates Washington Jones.

Mme Jones ramène le garçon chez elle. Une fois à l’intérieur, elle lui demande son nom et il lui dit que c’est Roger. Elle lui demande de se laver le visage et lui donne une serviette. Elle demande s’il a faim. Il lui dit que personne n’est chez lui, alors elle dit qu’ils y mangeront. Le garçon lui avoue qu’il voulait une paire de chaussures en daim bleu, c’est pourquoi il a tenté de lui voler son sac à main. Mme Jones lui dit qu’elle aussi a été jeune autrefois et qu’elle voulait des choses qu’elle ne pouvait pas avoir. Le garçon remarque qu’elle a cessé d’essayer de le surveiller et il se positionne de manière à ce qu’elle puisse le voir quand même. Mme Jones prépare à manger pour eux deux pendant que le garçon se coiffe.

Ils mangent tous les deux tranquillement et Mme Jones ne lui pose aucune question sur lui-même. Elle lui donne du gâteau en dessert et lui dit d’en manger davantage. Quand ils ont fini, elle lui donne 10 $ et lui dit d’acheter ses chaussures en daim bleu. Mme Jones demande au garçon de ne plus jamais la voler ni à personne d’autre et le fait sortir. Le garçon peut à peine lui dire « merci » avant qu’elle ne ferme la porte. Le garçon ne revoit plus jamais Mme Jones.



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