Contenu de l’article
Dans une semaine, tous les regards du cricket seront tournés vers les Caraïbes et les États-Unis, co-organisateurs de la Coupe du monde Twenty20.
Publicité 2
Contenu de l’article
Les Etats Unis? Oui. Le Conseil international du cricket, l’organisme directeur de ce sport, court après le puissant dollar yankee depuis plusieurs années maintenant.
Elle a finalement franchi le mur et est sur le point de percer sur le marché le plus lucratif du monde.
Après tout, le cricket est aussi étranger aux États-Unis que le football l’était jusqu’à ce que le regretté as brésilien Pelé débarque sur le sol nord-américain dans les années 1970.
De nombreux fans inconditionnels de cricket secouent la tête avec perplexité lorsqu’ils apprennent que le premier match international a eu lieu sur ces côtes en 1844. Ce n’était pas à Lord’s ou à The Oval en Angleterre ni, d’ailleurs, à Melbourne ou à Sydney en Australie.
C’était au St. George’s Cricket Club du Bloomingdale Park à New York et le match était présenté comme les États-Unis d’Amérique contre la province canadienne de l’Empire britannique. La province canadienne était l’Ontario et, dans une rencontre à faible score, les Canadiens ont gagné par 23 points.
Contenu de l’article
Publicité 3
Contenu de l’article
Peu de Canadiens savent également que le cricket a été déclaré sport national du Canada par Sir John A. Macdonald avant la crosse et le hockey. Il est possible que le baseball ait évolué à partir du cricket et maintenant, après toutes ces décennies, le jeu revient à ses racines et il semble qu’il soit là pour rester en raison de la population extrêmement diversifiée de ce pays.
Il y a une vingtaine d’années, l’ICC avait ciblé l’expansion des États-Unis, estimant qu’il y avait de la place pour qu’un autre sport fasse sa marque dans un pays riche qui a sa coupe pleine à ras bord avec un certain nombre de ligues professionnelles.
Le cricket, le deuxième sport le plus populaire au monde derrière le football, est déjà une source d’argent dans diverses régions du monde et ouvrir la porte aux États-Unis verra ses coffres déborder de dollars.
Publicité 4
Contenu de l’article
L’année dernière, la naissance de la Major League Cricket avec six équipes a été un succès instantané car elle a attiré certains des meilleurs joueurs du monde et les stades étaient remplis de fans affamés de cricket international. Parmi les premiers bienfaiteurs du MLC figurait Satya Nadella, PDG de Microsoft, et le groupe a levé 120 millions de dollars américains.
Vint ensuite American Cricket Enterprises (ACE), qui dépensa 1 milliard de dollars pour couvrir les dépenses de la ligue et d’autres investissements dont bénéficieraient les équipes nationales américaines. Les partenaires comprenaient Satyan Gajwani et Vineet Jain du groupe The Times et les fondateurs de Willow TV, Sameer Mehta et Vijay Srinivasan.
La ligue étant désormais sur des bases solides, plusieurs internationaux de classe mondiale, dont Nicholas Pooran des Antilles et l’Anglais Jason Roy, seront de retour pour une deuxième année. Parmi les autres signataires de contrats figurent les Antillais Sunil Narine, Kieron Pollard, l’Australien Tim David et la star montante sud-africaine Dewald Brevis. Le rapide néo-zélandais Trent Boult, la superstar du spin Rashid Khan d’Afghanistan et le meneur sud-africain Kagiso Rabada seront également présents.
Publicité 5
Contenu de l’article
La majorité de ces joueurs participeront d’abord à la Coupe du monde avant de rester sur place pour la MLC, qui débutera le 4 juillet.
Les plus anciens rivaux du monde – le Canada et les États-Unis – ont eu le privilège unique de lancer l’extravagance d’un mois à Dallas le 1er juin. Les deux pays disputeront leur première Coupe du monde T20, mais le Canada a déjà fait sa marque en la Coupe du monde des 50 ans et plus, où elle a fait tourner quelques têtes.
Malheureusement pour ces deux ménés, le tirage au sort n’a pas été des plus favorables puisqu’ils ont été regroupés dans le groupe A avec l’Inde, le Pakistan et l’Irlande. C’est un défi difficile, mais la visibilité que les joueurs gagneront vaut des millions. Exceller contre l’Inde et le Pakistan pourrait voir ces joueurs signer pour jouer dans la très lucrative Premier League indienne.
Publicité 6
Contenu de l’article
Les États-Unis ont été en feu lors de leurs matchs de préparation, étourdissant l’équipe test du Bangladesh 2-1 dans sa série, et le Canada a montré sa classe en battant le Népal par 63 points.
Le Canada a affiché 183 pour sept, puis a renvoyé les Népalais pour 120. La star du Canada était le meneur Dilon Heyliger, qui a déchiré le bâton avec un total de quatre pour 20.
Les étoiles au bâton étaient Nicholas Kirton, qui en a fracassé 51, et Ravinderpal Singh a pesé avec un passionnant 41 sur 17 balles. Donc les ménés sont
prêt.
Recommandé par l’éditorial
Le reste des piscines :
Groupe B : Écosse, Oman Angleterre, Australie, Namibie
Groupe C : Nouvelle-Zélande, Antilles, Afghanistan, Ouganda, Papouasie-Nouvelle-Guinée
Groupe D : Afrique du Sud, Sri Lanka, Bangladesh, Pays-Bas, Népal.
Les deux premiers se qualifieront pour le Super 8, suivi des demi-finales et du set final pour le Kensington Oval à la Barbade le 29 juin.
Consultez notre section sportive pour les dernières nouvelles et analyses.
Contenu de l’article