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Le TAO TE CHING de Lao-tseu est une œuvre classique de la philosophie chinoise qui parle de l’art de vivre, embrassant une Voie éternelle et impénétrable (Tao). Stephen Mitchell le présente dans une traduction libre, avec des notes de fin qui proposent dans certains cas des traductions littérales, de courts commentaires et des exemples.
TAO TE CHING (prononcé grossièrement : Dow Deh Jing) est une œuvre classique de la philosophie chinoise datant de l’époque de Confucius (551-479 avant notre ère), écrite par Lao-tseu, dont le nom signifie « Le vieux maître » ou « Le vieux garçon ». « . Il parle de l’art de vivre avec humour, grâce, bon cœur et profonde sagesse. Le traducteur Stephen Mitchell vise à restituer en anglais l’effet que Lao-tseu aurait eu sur un ancien lecteur chinois. Chaque fois qu’il estime que ses « improvisations » sont trop radicales, il fournit le texte littéral dans les notes de fin.
Dès le départ, le livre différencie un chemin qui peut être exprimé (tao minuscule) de la Voie impénétrable et éternelle (Tao majuscule). Le Tao ne peut pas être perçu. À travers une variété de figures de style, le Tao se révèle inépuisable, plus ancien que Dieu, engendrant à la fois le bien et le mal, jamais né, ne mourant jamais, ne désirant rien et présent pour tous. Toutes choses naissent du Tao, mais celui-ci ne crée rien. Le Tao circule partout et en toutes choses. Chaque être est une expression du Tao et l’honore spontanément. L’amour du Tao est la nature des choses. Le Tao est le centre de l’univers. Le filet du Tao recouvre l’univers et rien n’y passe. En fin de compte, toutes choses retournent au Tao.
Lorsqu’ils entendent parler du Tao, les personnes supérieures l’incarnent instantanément ; les gens ordinaires croient à moitié et doutent à moitié, et les imbéciles rient. Chaque jour, on ajoute un peu de connaissance et on laisse tomber un peu du Tao. Ne rien faire et parvenir au non-agir permet au Tao d’agir. Ceux qui sont plantés dans le Tao et qui l’embrassent ne peuvent pas être déplacés ; ils sont authentiques ; leurs familles prospèrent ; leur pays est un exemple pour les autres, et l’univers chante. On ne peut être soi qu’en vivant le Tao. Lorsqu’on s’ouvre au Tao et qu’on l’incarne complètement, on voit tout se mettre en place. Le Tao agit mais ne réclame rien, nourrit mais ne tient pas, se confond avec toutes choses et se cache humblement. Il est grand parce que toutes choses disparaissent en lui et il dure, mais il n’a pas conscience de sa grandeur, ce qui le rend vraiment grand. Le Tao s’abandonne et perdure ainsi. Ceux qui contrôlent par la force s’opposent au Tao, prenant à ceux qui manquent et donnant à ceux qui ont trop.
Le Maître incarne le Tao et ses actions et non-actions sont présentées comme des exemples suprêmes de vie dans le Tao. Il/elle n’enseigne pas mais le fait et, par l’exemple et la non-ingérence, aide les autres à embrasser le Tao.
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