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« The Switchman » a été publié en 1952 dans la collection Confabulaire. Dix ans plus tard, il fut réédité, avec le reste de son œuvre publiée à l’époque, dans la collection El Confabulario total. Arreola a inventé le mot « Confabulario », qui signifie un recueil de fables, et sa capacité d’invention ressort de l’originalité stylistique de « The Switchman » ainsi que du large éventail de ses autres œuvres.
« The Switchman » est un dialogue entre un voyageur anonyme et un aiguilleur des chemins de fer, dans lequel le cheminot détaille les horreurs du système ferroviaire sous-opérationnel. Il décrit les zones où il existe un ou aucun rail, les façades des gares conçues pour inciter les passagers à débarquer et les faibles chances qu’un étranger atteigne sa destination. D’un côté, l’histoire fonctionne comme une satire du système de transport mexicain, tandis que, d’un autre côté, le chemin de fer est une analogie avec l’absurdité désespérée de la condition humaine. Au moment de la publication, Confabulaire a été relativement bien accueilli, mais au fil du temps, les nouvelles d’Arreola sont devenues son œuvre la plus marquante. « The Switchman », en particulier, a retenu l’attention en tant que pièce emblématique de la maîtrise de l’auteur en matière d’allégorie et de satire.
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