Un agent de la CIA (Jessica Chastain) dirige une équipe d’espionnes contre les cyber-terroristes dans The 355.
Un ensemble international d’actrices hollywoodiennes de premier plan botter beaucoup de cul, mais ne peut pas sauver un acteur d’espionnage spectaculairement alambiqué. Le 355 a une équipe d’espionnes autrefois hostiles qui se regroupent pour arrêter le cyber-terrorisme. Ils poursuivent littéralement un sac à dos à travers le monde tout en frappant, poignardant et tirant sur une multitude de méchants en cours de route. Le film regorge de rebondissements ridicules diffusés à un kilomètre et demi. Le 355 donnera certainement aux accros à l’action une solution légitime. Une durée d’exécution trop longue et un scénario médiocre mettent malheureusement à genoux le talentueux casting.
Jessica Chastain incarne l’agent de la CIA Mace Brown. Elle et son partenaire/amant, Nick (Sebastian Stan), sont chargés de récupérer un disque dur d’un officier colombien voyou (Edgar Ramirez) à Paris. Le lecteur contient des cyber-outils qui peuvent compromettre n’importe quel système informatique en réseau. L’échange ne se passe pas bien. D’autres parties, dont l’agente allemande Marie Schmidt (Diane Kruger), sont également à la recherche de la cyber-arme.
Mace se retrouve en fuite. Elle recrute Khadijah (Lupita Nyong’o), une vieille amie et ancienne experte en informatique du MI6, pour l’aider à trouver le lecteur. Ils se retrouvent bientôt alliés avec Marie et une innocente thérapeute colombienne (Penelope Cruz) prise au piège dans la tourmente. Les femmes sont aveuglées par les trahisons alors qu’un ennemi impitoyable tire les ficelles de l’ombre. Ils obtiennent un autre allié (Bingbing Fan) lorsque le gouvernement chinois se joint à la mêlée.
Le 355 a plus de rebondissements qu’un sac de bretzels. Le plus gros étant flagrant dans les minutes qui suivent le premier acte. L’histoire va et vient alors que les espions se rendent compte qu’il n’y a personne en qui ils peuvent avoir confiance. Les antagonistes ont en quelque sorte infiltré toutes les organisations gouvernementales, mais luttent puissamment pour mettre la main sur le lecteur. Le même problème persiste ridiculement pour les protagonistes. Ils piratent facilement tous les ordinateurs, pénètrent dans n’importe quel endroit sécurisé, mais ne peuvent en quelque sorte pas arracher un sac aux terroristes qui font de la marche rapide. Rien de tout cela n’a de sens, surtout lorsque les méchants continuent de laisser nos héros en vie sans aucune raison.
Les scènes d’action sont brutales et bien chorégraphiées. Jessica Chastain et Diane Kruger ont des poursuites et des combats élaborés qui dégénèrent en un point culminant de pulvérisation de balles. Le 355 avait besoin de réduire le gras narratif autour de l’action. Le scénariste devenu réalisateur Simon Kinberg (X-Men: Dark Phoenix) atteint l’objectif d’autonomisation des femmes. Le casting livre les marchandises d’action à la pelle. Mon intérêt s’est émoussé alors que l’intrigue était continuellement jetée dans les développements du champ gauche. L’acte final pousse la crédulité à un point de rupture.
Vous devrez regarder The 355 pour comprendre le sens du titre. Une équipe d’élite de personnages féminins qui donnent un coup de pied au cul est récompensée par un casting de premier plan. Jessica Chastain ne peut rien faire de mal à mon avis. L’équipe d’étoiles travaille bien ensemble. J’espère sincèrement les voir dans une suite. Mais l’intrigue de ce film est trop écervelée. C’est complètement absurde et abrutissant pendant deux heures. Le 355 est produit par Perfect World Pictures et Freckle Films. Il sortira en salle le 7 janvier en exclusivité chez Universal Pictures.
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