lundi, décembre 23, 2024

La steppe

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La version suivante de ce livre a été utilisée pour créer le guide : Tchekhov, Anton. «La steppe : l’histoire d’un voyage.» Livres anciens, 2005.

Lorsque l’histoire commence, Egorushka, neuf ans, monte dans une britzka aux côtés de son oncle, le marchand Ivan Ivanych Kuzimichov, et d’un prêtre appelé le père Khristofor Siriysky. Les adultes sont en route pour vendre de la laine. En cours de route, ils déposeront Egorushka à l’école. Kuzimichov semble ennuyé par la compagnie d’Egorushka, mais le gentil père Christofor est heureux de l’avoir là. Egorushka se sent déprimé à l’idée de quitter la maison. Ils s’arrêtent pour la nuit et obligent Egorushka à surveiller les chevaux. Il rencontre un petit paysan nommé Titus. Ils jouent ensemble.

La Britzka s’arrête chez un homme appelé Moisei Moiseich. Il accueille souvent des commerçants chez lui. Le frère de Moisei, Solomon, semble critique. Egorushka est présenté à une femme juive qui lui donne du pain d’épice. La comtesse Dranitsky s’arrête pour s’enquérir du marchand Varlamov.

Après avoir roulé plusieurs heures en Britzka, ils croisent un train de wagons. Kuzmichov décide de déposer Egorushka avec le chef du chariot, un vieil homme appelé Pantelei, tandis que lui et le père Khristofor partent seuls à la recherche de Varlamov. Parmi les routiers, trois hommes se démarquent : Dymov, le farceur ; Vasya, avec sa vue perçante ; et Emelyan, l’ancienne chanteuse. Un soir, ils s’arrêtent au bord d’une rivière. Egorushka passe un bon moment à nager mais se met en colère lorsque Dymov lui attrape la jambe. Il erre en ville et voit Emelyan à l’église. Au moment où il revient, ils sont en feu. Egorushka écoute les wagonniers raconter des histoires sur leur passé et conclut que chacun d’eux a été trompé d’une manière ou d’une autre par le destin.

La nuit suivante, Pantelei raconte des histoires effrayantes près du feu. Ils sont évidemment inventés. Egorushka se demande pourquoi un homme avec une vie aussi intéressante éprouverait le besoin d’inventer des histoires. Le matin, Egorushka voit Varlamov parler à cheval avec un homme. Varlamov lui crie dessus pour ne pas avoir accompli correctement une tâche. Egorushka est déçu par sa première impression de cet homme dont on parle tant parmi les commerçants.

Le lendemain soir, Dymov taquine Emelyan par ennui. Cela met en colère Egorushka, qui tient tête à l’intimidateur. Dymov ne fait que rire. Une tempête arrive. Egorushka passe la nuit orageuse caché dans un chariot, terrifié. Lorsque la tempête s’arrête enfin, Pantelei l’envoie dans une maison voisine. Une vieille femme bossue le nourrit et lui prépare un lit. N’arrivant pas à dormir, Egorushka se dirige vers le hangar. Il trouve le pain d’épices dans sa poche. Il regarde son manteau qu’il a rapporté de chez lui et fond en larmes.

Les chariots s’arrêtent dans une auberge commerciale. Egorushka retrouve le père Khristofor et Kuzmichov. Le prêtre prend soin de lui pendant qu’il est malade cette nuit-là. Le lendemain matin, les hommes déposent Egorushka chez l’amie d’enfance de sa mère. C’est une gentille vieille femme nommée Natasya. Elle accepte de s’occuper d’Egorushka. Elle vit avec sa propre petite-fille, Katya. Une fois que le père Christofor et Kuzmichov se sont dit au revoir, Egorushka pleure. Il se demande ce qu’il va devenir.

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