[ad_1]
« Intelligence sociale : la nouvelle science des relations humaines » est un livre non-fiction écrit par le psychologue et journaliste primé Daniel Goleman. À bien des égards, ce livre est censé accompagner le best-seller du « New York Times » « L’intelligence émotionnelle : pourquoi elle peut compter plus que le QI ». Le livre examine la relation entre les neurosciences et les interactions humaines. Goleman découvre que nous sommes « programmés pour nous connecter » et examine l’impact que nos relations personnelles ont sur tous les aspects de notre vie.
Goleman définit l’intelligence sociale comme étant une connaissance à la fois de nos relations interpersonnelles et de la manière dont nous y agissons. Il met un point d’honneur à faire la distinction entre un escroc égoïste et les véritables actes de bienveillance dont nous avons besoin pour avoir des relations saines et aimantes. Goleman utilise ses propres recherches et expériences de vie, ainsi que les recherches, expériences de vie et preuves anecdotiques d’autrui pour continuellement faire valoir son point de vue sur l’impact de nos relations sociales et privées sur nos vies. Qu’il s’agisse de croiser un inconnu dans la rue ou de la fréquence à laquelle notre mère nous a tenus dans nos bras lorsque nous étions bébés, Goleman montre à quel point nos interactions sociales nous définissent.
Dans les premiers chapitres, Goleman fait une distinction entre les voies neuronales hautes et basses. La route basse, comme son nom l’indique, est plus instinctive et basée sur l’émotion. La route basse traite les informations non verbales, telles que le langage corporel et les expressions faciales de la personne à qui nous parlons. Au contraire, la grande route tourne davantage autour de la communication, de l’adaptation et de la capacité à se remémorer les expériences passées. Après avoir expliqué en détail ces deux voies différentes, Goleman les utilise toutes deux dans le reste du livre pour éclairer et renforcer ses arguments.
L’intelligence sociale comprend six sections distinctes, dans chacune desquelles Goleman décompose la neuroscience de diverses interactions humaines. Dans la première section, Goleman aborde les besoins fondamentaux des humains de se connecter les uns aux autres. Dans la section suivante, il détaille les traits de caractère qui nous conduisent à entretenir des relations malsaines. y compris la « triade noire » : qui mène souvent à certains des plus grands cas de mal. Dans la troisième section, Goleman aborde le débat sans âge « nature contre culture ». Goleman ne choisit pas un camp sur cette question brûlante, mais il utilise les neurosciences pour montrer comment les deux jouent un rôle dans le type de personnes que nous devenons.
Dans la quatrième section, Goleman examine comment le système neurologique humain réagit à l’amour. Dans l’une des parties les plus éclairantes de la section, Goleman montre qu’être amoureux active les mêmes secteurs du cerveau que l’héroïne ! Dans la cinquième section, il examine les effets des relations personnelles sur notre santé. Même si cela peut paraître évident, les relations positives ont un effet considérable sur notre santé, tandis que les relations négatives entraînent du stress et les nombreux problèmes de santé qui en découlent. Dans la dernière section du livre, Goleman examine comment ces nouvelles informations sur nos relations sociales pourraient contribuer à changer nos vies personnelles et professionnelles. En utilisant toutes les informations qu’il vient de passer en revue, Goleman se demande également à quoi notre monde pourrait ressembler si nous placions les relations sociales saines comme la partie la plus importante de notre vie et de la société dans son ensemble.
[ad_2]
Source link -2