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ST. PETERSBURG, Floride — Oui, ce n’étaient que des lancers mous servis au cœur du marbre par son manager John Schneider mercredi après-midi, mais encore une fois, l’entraînement au bâton de Vlad Guerrero Jr. était un spectacle à voir.
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À la veille du début de la saison 2024 des Blue Jays, le joueur de premier but aux coups doux lançait des tirs imposants qui ont presque éraflé le toit du Tropicana Field, dont au moins deux ont atterri dans le salon Daiquiri, dans la partie la plus profonde du parc.
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Tout commence à compter jeudi lors du premier des quatre contre les Rays, mais Guerrero se sent clairement bien à la veille d’une saison importante.
« Confiance », a répondu le joueur de 25 ans lorsqu’on lui a demandé ce qui avait alimenté une campagne d’entraînement de printemps au cours de laquelle il a atteint 0,465 avec de larges doses de cette puissance renommée. «C’est la première pensée sur laquelle je me suis mis en tête et, grâce à Dieu, je me sens bien en ce moment.
«La confiance aide à simplifier les choses, à devenir de meilleurs frappeurs et à voir de meilleurs lancers. Cela aide vraiment quand on retrouve ça.
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Guerrero est le premier à reconnaître que l’année dernière a été une déception pour lui au marbre. Il a pris les choses en main avec un plan d’entraînement agressif hors saison à Tampa et espère récolter les fruits en se sentant mieux physiquement. Il est bien conscient qu’il peut contribuer à enflammer une attaque capable de bien plus que ce qu’elle a produit la saison dernière.
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« Moi y compris, nous n’avons pas fait le travail, point final », a déclaré Guerrero à propos des difficultés offensives des Jays la saison dernière. « Ça arrive. C’est du passé. Nous nous concentrerons sur la saison 2024 à partir de (jeudi.) Je dirais que ma partie mentale de mon jeu est bien meilleure que l’année dernière. Je reste simplement concentré sur une bonne saison.
Avec encore deux ans avant l’agence libre, Guerrero sait qu’un gros salaire se profile. Mais après avoir remporté un arbitrage record avec les Jays cet hiver, il ne va pas s’alourdir avec des discussions contractuelles.
« Je ne ressens aucune pression », a-t-il déclaré lors de son point de presse traduit par Tito Lebron. « Je sais qu’il me reste deux ans. Je ne vais pas mettre de pression là-dessus. Je vais continuer à faire mon travail et voir ce qui se passe.
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