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Rien de tel qu’une démonstration de force pour rappeler à tous qui vous êtes.
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Après un revers de 1-1-1 qui comprenait une défaite en temps réglementaire à Columbus et une défaite en prolongation à Buffalo, les Oilers d’Edmonton n’ont pas perdu de temps à montrer leurs muscles mercredi aux dépens des Capitals de Washington, débordés.
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Non seulement c’était convaincant du début à la fin, mais c’était la victoire de la saison avec tout le bien-être, tout se mettait en place sur tous les fronts.
Zach Hyman a réussi un tour du chapeau. Leon Draisaitl a marqué quatre points. Connor McDavid a terminé avec trois. Le jeu de puissance s’est déroulé à trois contre quatre. Stuart Skinner a mis Alex Ovechkin dans sa poche de hanche.
Tout cela s’est traduit par une victoire éclatante de 7-2.
Mais la fin parfaite est arrivée à la poubelle lorsque Connor Brown a absolument fait tomber la maison avec son premier but tant attendu en tant que Oiler.
Temps de voyage
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Ce devait être la plus grande ovation pour le septième but dans un match de 7-2 dans l’histoire de la LNH. Mais lors d’une soirée où il y avait de quoi rugir, la déviation de Brown sur son patin a généré le plus puissant.
« Le bâtiment était bruyant, c’est l’un des moments les plus bruyants où j’ai entendu le bâtiment », sourit Hyman. « Tout le monde était vraiment content pour lui. Ce n’est pas facile d’arriver dans une nouvelle équipe après une blessure. Il y a tellement de looks qui auraient dû lui plaire.
Celui-ci, un duo avec Evander Kane après 64 matchs dans la saison, l’a finalement fait. Cela a mis Rogers Place et le banc des Oilers sur pied alors que la signature d’agent libre mordue par un serpent mettait enfin fin à sa brutale sécheresse.
«Cela signifiait beaucoup», a déclaré Brown, qui n’avait pas marqué depuis mars 2022, avant la blessure au genou qui lui a coûté tous les matchs sauf quatre la saison dernière en tant que membre, comme le destin l’a voulu, des Capitals.
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« Vous jouez sur un grand marché comme celui-ci, ils connaissent les intrigues. Cela signifie beaucoup. Cela a été difficile cette année offensivement. Je n’ai pas réussi à en obtenir un. Que leur soutien transparaît là-bas, ils me soutiennent, c’était un bon sentiment.
C’est un autre exemple de la raison pour laquelle les joueurs d’Edmonton s’émerveillent du soutien des fans ici. Je ne suis pas sûr que l’on retrouve une telle scène dans de nombreux autres marchés, mais Rogers Place s’est encore illustré.
Brown a admis avoir été quelque peu surpris par la réaction. Les supporters applaudissent toujours un but, mais recevoir une longue ovation pour avoir mis fin à une disette personnelle au sein d’une nouvelle équipe a vraiment touché une corde sensible.
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« J’ai marqué un gros but à Toronto à la fin de l’année lors de ma saison recrue pour ma 20e et c’était une chose assez importante, mais je pense que celui-ci remporterait le gâteau », a souri Brown. « C’est incroyable quand on a le sentiment que cette ville est derrière nous avec ce genre de soutien.
« C’est énorme pour un joueur. C’est énorme pour moi de poursuivre sur cette lancée et de la maintenir sur cette lancée. »
Si vous êtes Brown, ou n’importe qui d’autre dans l’équipe, comment une scène comme celle-là ne vous met-elle pas en feu ?
« C’est plutôt cool à voir », a déclaré Draisaitl. « Évidemment, ces dernières années n’ont pas été faciles pour lui, mais je pense en fait qu’il joue du hockey incroyable et parfois, malheureusement, cela devient de plus en plus difficile avec le temps.
« Mais je suis très heureux de le voir marquer et je ne serais pas surpris s’il ouvrait un peu les vannes. »
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Brown ne peut pas défaire les 63 matchs qui ont précédé la fin du livre de contes de mercredi, mais il est encore temps de faire quelque chose pour le reste de la piste qui l’attend. S’il est vrai que parfois le premier ouvre vraiment les vannes, peut-être que cette histoire s’améliore encore au fil du temps.
«J’avais confiance en moi», dit-il. « Je sais que je peux bâtir à partir de cela et acquérir une certaine confiance avec la rondelle dans les zones marquantes. C’est bien de l’avoir maintenant, au bon moment de l’année, et de commencer à rouler.
Il apprécie que ses autres travaux – échec-avant et infériorité numérique – soient remarqués par ses entraîneurs et ses coéquipiers, mais il sait aussi qu’une partie de la raison pour laquelle les Oilers l’ont amené ici était pour aider offensivement. Un objectif est un début, mais il pense qu’il y en a d’autres à venir.
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« J’ai marqué 20 fois à plusieurs reprises au cours de ma carrière, donc je dirais que (marquer) est une grande partie de mon jeu. Je n’ai jamais été d’accord avec le fait de ne pas marquer. Je ne me contentais pas de laisser les grands porter le fardeau et de ne pas contribuer. J’essaie de marquer tous les soirs. Ce sera ainsi à l’avenir et jusqu’aux séries éliminatoires.
McCLASSIC CONNOR
McDavid n’a pas attendu très longtemps pour faire savoir à tout le monde que ce serait une de ces soirées. Il a récolté un but et deux passes décisives avant que la première période ne dure 12 minutes. Il a préparé Draisaitl à 4 :36 et Hyman à 11 :24 et en a marqué un lui-même à 6 :58.
C’était la 118e fois qu’il récoltait trois points ou plus dans un match, ce qui le place au troisième rang sur la liste de tous les temps des Oilers derrière Jari Kurri (137) et Wayne Gretzky (301).
SAINT HYMAN
Le tour du chapeau de Hyman n’a été officialisé qu’à la fin de la troisième période après que la LNH lui ait attribué le mérite d’un but initialement accordé à Evan Bouchard à la fin de la deuxième période. Les chapeaux sont tombés en pluie de toute façon.
Les buts ont prolongé la séquence de buts à domicile de Hyman à 10 matchs, le liant à Wayne Gretzky pour la plus longue séquence de l’histoire de la franchise. Au total, il compte 13 buts à ses 13 derniers matchs et en compte 46 cette saison, après un sommet en carrière de 21 à Toronto.
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