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Une femme est retrouvée étranglée devant l’église de San Gines, et le capitaine Alatriste, en rendant service à son ami, le poète Francisco de Quevedo, se retrouve rapidement mêlé à un enchevêtrement d’intrigues politiques. Lorsque l’Inquisition, en collaboration avec l’ennemi d’Alatriste, le secrétaire royal Luis de Alquezar, tente de faire tomber à la fois le comte de Olivares et Alatriste lui-même en poursuivant le jeune écuyer d’Alatriste, Inigo, pour hérésie, le capitaine et son ami Don Quevedo doivent faire une course contre la montre pour effacer le crime. le nom du garçon et éviter un rendez-vous avec le pieu.
Le chef de la police de Madrid, Martin Saldana, est appelé pour enquêter sur la découverte du corps d’une femme retrouvée étranglée devant l’église de San Gines. Quelques jours plus tard, le capitaine Alatriste, épéiste et ancien soldat, est approché par son ami, le poète aristocratique flamboyant et irascible, Francisco de Quevedo, pour accepter un travail d’aide au sauvetage d’une jeune femme nommée Elvira de la Cruz du couvent. des Adoratrices Benitas. Vincente de la Cruz, le père de la jeune fille, a insisté sur le fait que sa fille et le reste des religieuses étaient maltraitées par les prêtres Fray Coroado et Fray Garzo. Il a essayé la voie diplomatique, mais les deux prêtres ont de bonnes relations, et de la Cruz, que l’Église soupçonne d’avoir du sang non chrétien dans son arbre généalogique, n’a pas de levier pour sortir sa fille de la situation.
Alatriste et don Quevedo aident Vincente de la Cruz et ses deux fils à se faufiler dans le couvent, mais ils sont immédiatement pris en embuscade par les forces de l’Inquisition, qui ont suivi les de la Cruz. Vicente et son fils cadet sont tués tandis que le fils aîné, Alatriste, et Don Quevedo réussissent à fuir les lieux. Le jeune écuyer d’Alatriste, Inigo Balboa, le narrateur de l’histoire, tente de revenir sur les lieux et d’aider son maître et est attrapé par les forces de l’Inquisition dirigées par l’ennemi juré d’Alatriste, le méchant assassin italien Gualterio Malatesta.
L’Inquisition tente d’inciter Inigo à incriminer Alatriste, mais le garçon nie catégoriquement toute implication ou connaissance de l’affaire. Enfin, Elvira de la Cruz, brisée, est amenée à témoigner faussement qu’elle connaît Inigo et qu’il pratique les rites juifs.
Alatriste utilise son influence auprès de son ami le Condé de Guadalmedina pour obtenir une audience avec le Condé de Olivares, le chef de l’État, que Luis de Alquezar tentait d’humilier publiquement dans le scandale du couvent. Le Conde de Olivares laisse entendre que Luis de Alquezar lui-même est impur de sang.
Pendant que Don Quevedo court vers le nord pour en trouver des preuves pour faire chanter Alquézar, Alatriste se rend à l’autodafé organisé par l’Inquisition pour condamner publiquement Inigo et Elvira. Là, il est reconnu dans la foule par Alquezar, qui place après Alatriste un groupe d’hommes dirigé par Gualterio Malatesta. Alatriste et Malatesta se battent en duel dans une ruelle voisine et Malatesta est grièvement blessé, mais Alatriste doit fuir avant d’achever son rival en raison de l’arrivée d’autres adversaires.
Don Quevedo arrive à l’autodafé juste à temps pour présenter la preuve de sang impur au secrétaire royal Alquézar, qui, craignant de perdre son poste, demande la libération d’Inigo.
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