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L’enfant Jeanne d’Ingleheim est née en 814 d’une femme saxonne nommée Gudrun et de son mari anglais, le chanoine d’Ingleheim. La sage-femme du village, Hrotrud, accouche de bébé Joan après un travail dangereux et compliqué. Le chanoine froid et haineux est profondément déçu d’avoir une fille, estimant qu’en plus d’être sans valeur, les femmes sont la source du péché.
Le pape Jeanne est l’histoire d’une jeune femme de l’époque médiévale, intellectuellement brillante et motivée par son désir d’apprendre tout ce qu’elle peut sur la religion et la médecine. Au fil du temps, Joan, déguisée en John Anglicus, se voit finalement offrir des opportunités à des niveaux de pouvoir que la plupart des hommes n’atteignent jamais. Son secret, le fait qu’elle soit une femme, n’est connu que d’un seul homme, le chevalier Gerold. Les seules opportunités de cette femme douée de contribuer à son monde en évolution dépendent de sa façade de virilité.
Encadrée lorsqu’elle était enfant par le grec avant-gardiste Esculape, Joan trouve l’opportunité de fréquenter l’école du palais de Dorstadt avec son frère John. Lorsqu’elle survit à une attaque brutale de Norseman le jour de son redoutable mariage arrangé, Joan, quinze ans, s’échappe dans la cape à capuche de son frère décédé et rejoint le monastère de Fulda sous le nom de John Anglicus. Elle vit et étudie comme moine à l’abbaye et apprend à pratiquer la médecine auprès du médecin résident de l’abbaye.
Joan se rend à Rome, toujours déguisée en homme, et se révèle être une guérisseuse remarquable et la voix de la raison parmi les hommes dont les croyances religieuses restrictives les paralysent jusqu’au bon sens. Après une série d’événements mémorables, Jeanne est élue Pape de Rome et sert équitablement et honorablement à ce titre jusqu’à sa mort. Son histoire est pratiquement inscrite hors de l’histoire en raison de la découverte bizarre de sa sexualité et du fait qu’elle est capable d’accomplir tant de choses sous le nez des hommes puissants de l’époque. Bien que Joan vive comme un homme, le seul amour de sa vie est celui du comte Gérold, qu’elle rencontre à plusieurs reprises au cours de sa vie. Lorsque Gerold est tué, le pape Jean Anglicus, ou Jeanne, fait une fausse couche et meurt, laissant Rome avec un morceau d’histoire embarrassant et honteux à gérer.
Ce n’est qu’en tant que John Anglicus que Jeanne est capable de vivre la vie remarquable d’un érudit, d’un médecin, d’un prêtre catholique et enfin de pape, à une époque où l’on considère qu’elle n’a de valeur que pour la procréation.
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