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Le poème « Poésie » a été publié pour la première fois dans une revue littéraire en 1919. Plus tard, il a été inclus dans trois des livres de Moore : Observations, Poèmes rassembléset Poèmes complets. La longueur du poème varie à chaque publication, passant respectivement de treize vers à près de quarante vers, puis à trois vers. Dans « Poésie », l’oratrice ouvre le poème en affirmant qu’elle « n’aime pas… tout ce violon » – c’est-à-dire la poésie. Sur un ton à la fois autoritaire et plein d’esprit, l’oratrice développe ensuite son argument, cataloguant soigneusement de nombreuses lacunes de la poésie. Parfois, elle illustre sa logique en utilisant des images soigneusement choisies. L’orateur dit que l’un des plus grands défauts de la poésie survient lorsqu’elle manque d’authenticité. Elle insiste sur le fait que la poésie doit combiner à la fois imagination et réalité. Elle illustre ce point en disant que la vraie poésie est capable de présenter « des jardins imaginaires contenant de vrais crapauds ». Cette métaphore est devenue l’une des métaphores poétiques les plus citées. Ironiquement, à travers l’exploration par l’orateur de ce qui est « dérivé » et « inintelligible » dans la poésie, ce poème prouve les mérites de la poésie. Il offre le modèle même de ce qu’est la « véritable » poésie et illustre à quel point la bonne poésie peut être précieuse.
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