Contrairement au film The Thing, aucun des scientifiques belges infectés n’a été transformé en bête assoiffée de sang
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Des chercheurs polaires en Antarctique ont contracté le COVID-19 bien qu’ils soient entièrement vaccinés et vivent à des kilomètres de la civilisation.
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Les deux tiers des 25 membres du personnel basés à la station polaire Princesse Elisabeth de Belgique ont attrapé le virus, a rapporté le journal Le Soir, prouvant qu’il n’y a pas d’échappatoire à la pandémie mondiale.
L’épidémie s’est installée malgré le fait que tout le personnel a réussi plusieurs tests PCR, mis en quarantaine et vivant dans l’un des endroits les plus reculés du monde.
La situation fait écho à l’intrigue du classique d’horreur de 1982 de John Carpenter, The Thing, qui était annoncé sur des affiches avec l’avertissement « l’homme est l’endroit le plus chaud pour se cacher ».
Une forme de vie extraterrestre infecte les travailleurs d’une station antarctique dans le thriller de science-fiction culte avec Kurt Russell. Contrairement au film, aucun des Belges infectés n’a présenté de symptômes graves – et encore moins n’a été transformé en bêtes assoiffées de sang qui ne peuvent être tuées que par incinération. Les 25 chercheurs ont été complètement vaccinés et un a reçu une injection de rappel. Avant de partir pour la station, ils ont subi des tests PCR en Belgique deux heures avant de s’envoler pour l’Afrique du Sud.
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Au Cap, ils ont été mis en quarantaine pendant 10 jours et ont passé un autre test PCR.
Un autre test était nécessaire lors du départ pour l’Antarctique et un dernier cinq jours après.
Une personne a été testée positive sept jours après son arrivée à la station le 14 décembre. L’individu a été placé en isolement, mais les tests ont révélé que deux autres avaient attrapé le virus.
Tous trois ont quitté la station le 23 décembre mais le virus a continué de se propager.
On pense qu’il s’agit de la variante omicron car elle est responsable de 99% des infections en Afrique du Sud.
Il y a deux médecins urgentistes à la gare, ce qui n’autorisera aucun nouvel arrivant tant que le virus ne se sera pas dissipé.
Le Secrétariat polaire belge a maintenant raccourci la saison de recherche et le personnel restant restera à la base au moins jusqu’au 12 janvier.