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Le poème de Ruth Stone « Ordinary Words » est le poème titre de son recueil de 1999. Mots ordinaires. Ne comptant que dix-sept vers, le poème est divisé en deux strophes de onze et six vers libres respectivement. La première strophe consiste en la réminiscence de l’oratrice d’un moment où elle a blessé une autre personne avec ses mots et en une description de la douleur et du regret qu’elle continue de ressentir pour cet acte, même si la personne est maintenant morte. La deuxième strophe est une comparaison comparant la musique d’un roseau ancien (c’est-à-dire une flûte) à la capacité d’un oiseau aveugle à se souvenir de son chagrin.
Stone utilise un langage commun dans le poème. Il n’est pas plein d’allusions littéraires ou de références au grand art. Elle est connue pour décrire de manière directe les expériences quotidiennes de joie et de tristesse que vivent tous les êtres humains. Le style de Stone rend le poème accessible à un large public. La lamentation qu’elle exprime dans le poème s’adresse à son mari, le romancier et poète Walter B. Stone, qui s’est suicidé en se pendant en 1959. Les mots ordinaires font référence à la fois au vocabulaire poétique de Stone et au nom qu’elle appelait son mari au début de le poème. L’expression suggère que les mots ordinaires ont le pouvoir de faire beaucoup de mal aux autres.
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