Le poème « One Is One » a été publié dans le cinquième recueil de poésie de Marie Ponsot en plus de cinquante ans de carrière d’écrivain. De longs intervalles de temps semblent s’écouler entre ses publications, mais cela ne freine pas l’intérêt du public pour son travail. La base de fans de Ponsot ne cesse de croître. Une raison possible est que les poèmes de Ponsot sont très accessibles, et « One Is One » en est un excellent exemple. Ses thèmes sont universels et son langage est simple et clair. Alors qu’elle est aux prises avec ses émotions pour tenter de les contrôler, elle révèle sa vulnérabilité, quelque chose à laquelle la plupart des lecteurs peuvent s’identifier. Les lignes épurées du poème tracent un chemin, menant à une destination qui n’est révélée que dans les toutes dernières phrases de la strophe finale. Le poème entraîne les lecteurs dans un voyage tranquille dont ils ne se rendent même pas compte jusqu’à ce que le poète les oblige à se regarder. « One Is One » est rassemblé dans le livre L’attrape-oiseaux (1998), qui a remporté l’un des prix de poésie les plus prestigieux aux États-Unis, le National Book Critics Circle Award 1998.