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La version suivante de ce livre a été utilisée pour créer ce guide d’étude : Corin, Lucy. Cent Apocalypses et autres apocalypses. McSweeney’s Books, 2013. Première édition américaine.
Le recueil de nouvelles de Corin considère tous une sorte d’apocalypse, qu’il s’agisse d’une apocalypse qui affecte le monde entier ou de l’apocalypse d’un individu.
La première histoire, « Eyes of Dogs », raconte l’histoire d’un soldat revenant de la guerre. L’histoire se déroule dans un univers de conte de fées, car sur le chemin du retour, le soldat rencontre une sorcière. La sorcière dit au soldat que s’il tombe au fond d’un puits et affronte trois chiens, il deviendra riche. Le soldat obéit aux ordres de la sorcière, affronte les chiens et refait surface avec de l’argent et un sac magique. Il tue ensuite la sorcière et dépense son argent en ville. Cependant, au moment où il a le plus besoin d’argent, le soldat découvre que tout a disparu.
« Madmen » est une histoire surréaliste racontant comment une jeune fille atteint sa majorité en adoptant un fou. L’histoire révèle sa relation difficile avec ses parents, ses amis et éventuellement avec son fou. À la fin de l’histoire, la mère du narrateur s’est suicidée, la laissant seule face au monde des adultes.
« Godzilla Versus the Smog Monster » raconte l’histoire d’un jeune adolescent nommé Patrick, qui tombe amoureux d’une fille plus âgée nommée Sara. Au cours de l’histoire, Los Angeles brûle, obligeant Patrick à remettre en question les questions de propriété, de politique et de relations significatives. Après avoir passé une nuit avec Sara, s’être battu avec son meilleur ami et avoir affronté son père, Patrick achève son rite de passage à l’âge adulte.
« Cent Apocalypses » est la dernière histoire de Corin, divisée en quatre chapitres, chaque chapitre considérant un aspect différent de l’apocalypse. « Un quart de cent apocalypses » est une série de vignettes examinant comment l’apocalypse peut donner aux individus (et au monde) l’opportunité de créer un nouvel avenir. « Jusqu’à la moitié des apocalypses » examine comment une apocalypse sépare nécessairement l’individu de son passé, qui peut être à la fois libérateur et tragique. « Jusqu’aux trois quarts de cent apocalypses » examine la manière dont l’individu gère l’apocalypse et ses conséquences, tandis que « Ces apocalypses finales » examine la manière dont les individus trouvent un sens pour eux-mêmes après l’apocalypse. Chacun de ces chapitres est divisé en une série de vignettes, certaines longues de trois pages, d’autres d’une phrase. Chaque vignette a un narrateur différent, un décor différent et un thème différent, bien que toutes considèrent l’apocalypse d’une manière ou d’une autre.
La collection d’histoires de Corin résiste à la cohérence en un seul récit : les trois premières histoires présentent toutes des intrigues et des personnages différents, et même la dernière histoire est divisée en chapitres et vignettes radicalement différents. De cette façon, Corin démontre que les apocalypses ne sont pas seulement des événements mettant fin au monde : l’apocalypse peut prendre de nombreuses formes et tailles différentes, pour de nombreuses personnes différentes, à de nombreux moments différents. Bref, les possibilités de l’apocalypse sont infinies.
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