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La version de ce poème utilisée pour créer ce guide d’étude apparaît dans : Bishop, Elizabeth. Les poèmes complets 1926-1979 (Farrar, Straus et Giroux, 1983).
Notez que les citations entre parenthèses dans le guide font référence aux vers du poème dont les citations sont tirées.
Le thème principal de « One Art » d’Elizabeth Bishop est l’inévitabilité de la perte tout au long de la vie. Certains chercheurs pensent que l’exploration de ce thème découle des propres pertes de Bishop au cours de sa vie, à commencer par la mort de son père alors qu’elle était enfant, et la maladie mentale de sa mère qui a suivi. Bien que la poésie de Bishop soit souvent très intime et personnelle, son travail ne peut être qualifié de « confessionnel », tout comme le travail de plusieurs de ses pairs tels que Sylvia Plath et Robert Lowell. Cela est dû au fait que pendant la majeure partie du poème, l’oratrice maintient une distance psychologique et émotionnelle par rapport à ses réflexions grâce à son usage fréquent de l’ironie.
Le poème commence par l’affirmation selon laquelle « l’art de perdre n’est pas difficile à maîtriser » (1). Cette affirmation apparemment simple fait cependant référence à l’expérience commune de la perte en tant que forme d’art, ce qui l’élève immédiatement au-delà du quotidien. Au fur et à mesure que le poème progresse, l’ampleur de la perte de ces choses augmente également, ainsi que les affirmations de l’orateur selon lesquelles les perdre encore n’est pas « un désastre » (3). Dans le quatrain final du poème, cependant, l’attitude de l’orateur face à la perte semble changer, offrant ainsi aux lecteurs l’occasion de remarquer des fissures dans le ton confiant de l’orateur.
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