Sur le résumé de la bonne vie et le guide d’étude descriptif


Cicéron était l’un des plus grands philosophes, hommes d’État et orateurs de l’Antiquité classique. Il acquit une grande renommée à la fin de la République romaine et au début du règne de César, environ 60 à 40 ans avant Jésus-Christ. Il était connu non seulement pour son consulat romain mais aussi pour ses écrits intellectuels. La philosophie n’était pas aussi courante chez les Romains que chez les Grecs. Cicéron a joué un rôle important non seulement dans la renaissance de la pensée grecque, mais aussi dans le développement de ses propres idées philosophiques (même si elles sont restées assez proches de la pensée grecque). Il a également popularisé la philosophie auprès des élites romaines. L’influence de Cicéron s’étend cependant bien au-delà de sa mort, à la fin de l’Empire romain, à la période médiévale, à la Renaissance et jusqu’à nos jours.

On the Good Life n’est pas un seul livre écrit en une seule fois. Il s’agit plutôt d’une compilation de plusieurs essais que Cicéron a écrits au cours de sa vie. Beaucoup de ces essais sont des « livres » au sein d’ouvrages plus vastes, les autres livres étant extraits ailleurs. On the Good Life contient cinq chapitres. Le premier, le livre V des « Discussions à Tusculum », est un dialogue que Cicéron a écrit entre lui et un ami sur la nature du bonheur. Cicéron souhaite plaider en faveur de la vision stoïcienne du bonheur. Les stoïciens pensaient que le bonheur ne pouvait être perturbé pour qu’il soit parfait. Cela signifiait s’entraîner à devenir émotionnellement indifférent à la perte de tout bien extérieur, y compris les amis et la famille. Le deuxième chapitre, le livre II de « Des devoirs », couvre le caractère de l’homme d’État. Cicéron est horrifié par la disparition de la république romaine et écrit Sur les devoirs pour montrer que le caractère de l’homme d’État doit être tel qu’il préserve la stabilité au sein d’un régime. Un tyran ne peut pas avoir ce caractère, affirme-t-il. Le troisième chapitre, « Laelius : Sur l’amitié », est un dialogue que Cicéron prétend avoir reçu de son professeur Quintus Mucius Scaevola. Cicéron affirme que Scaevola et Gaius Finnius ont eu cette conversation avec Gaius Laelius Sapiens, qui avait une célèbre amitié avec Scipion l’Africain le Jeune. Le dialogue porte sur ce que Laelius a appris de son amitié légendaire avec Scipion. Le quatrième chapitre, « De l’Orateur », est l’ouvrage le plus long. C’est aussi un dialogue, qui se déroule sous forme de débat entre Lucius Licinius Crassus et Marcus Antonius Orator. Crassus soutient que l’orateur doit maîtriser tous les sujets, tandis qu’Antonius soutient que l’art oratoire nécessite peu de connaissances et nécessite surtout la capacité de persuader. Le cinquième chapitre, « Le Rêve de Scipion », complète le livre. Il est assez court et concerne le rêve de Scipion l’Africain le jeune qui a une vision de son grand-père, Scipion l’Africain l’aîné. Scipion l’Ancien lui montre les sphères supérieures de la réalité et l’encourage à se concentrer sur la grandeur et la vertu plutôt que sur les petites choses de la terre.



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