[ad_1]
Sages-femmes est le troisième roman de l’auteur acclamé Chris Bohjalian. Le roman raconte l’histoire de Sibyl Danforth, une sage-femme jugée pour la mort d’une de ses clientes. Un procès censé porter sur la mort d’une femme célibataire se transforme en une bataille entre la science et la nature alors que le droit d’une femme de choisir d’accoucher à domicile est débattu. La jeune fille de Sibyl, Connie, quatorze ans, regarde depuis les coulisses, impuissante à contrôler le chaos qui menace de déchirer sa famille. Sages-femmes est un roman de famille, de confiance et de loyauté qui tiendra le lecteur en haleine jusqu’à la toute dernière page.
Charlotte Fugett Bedford est une femme calme qui a récemment déménagé de l’Arkansas au Vermont. Charlotte a peu d’amis et est souvent perdue dans l’ombre de son mari ministre, Asa. Lorsque Charlotte tombe enceinte de son deuxième enfant, elle choisit de consulter une sage-femme plutôt qu’un gynécologue. La grossesse de Charlotte se déroule sans incident, à l’exception d’une brève lutte contre l’anémie, convainquant Sibyl Danforth, sa sage-femme, qu’elle est une bonne candidate pour un accouchement à domicile. Lorsque Charlotte accouche, il semble que l’accouchement se déroulera aussi sans incident que la grossesse. Cependant, les choses commencent à changer à mesure que le travail avance tard dans la nuit.
Lorsque Sibyl constate des saignements excessifs, elle suggère à Charlotte d’être transférée à l’hôpital. Malheureusement, une tempête de verglas a mis hors service les téléphones. Sibyl décide d’aller chercher sa voiture et de déplacer Charlotte de cette façon, mais l’allée est tellement glissante que Sibyl finit par conduire sa voiture dans un banc de neige. Il semble qu’il n’y ait aucun espoir de déplacer Charlotte. Heureusement, le saignement s’arrête et Charlotte semble hors de danger.
Sibyl encourage Charlotte à pousser. Pendant quatre heures, le bébé avance dans le canal génital mais refuse obstinément de sortir au monde. Sibyl continue d’encourager Charlotte, convaincue que le bébé n’a besoin que d’un bon coup de pouce supplémentaire. Charlotte est fatiguée et a du mal à trouver l’énergie nécessaire pour répondre aux exigences de Sibyl. Soudain, Charlotte a une crise qui, selon Sibyl, est causée par un accident vasculaire cérébral. Sibyl effectue la RCR, mais après le cycle final, Sibyl ne ressent pas de pouls et n’entend pas de battement de cœur. Sibyl détecte cependant un battement de cœur fœtal. Sibyl choisit de faire une césarienne et de délivrer le bébé de sa mère décédée.
Le corps de Charlotte est emmené au bureau du médecin légiste pour ce qui, dit Sibyl, est une autopsie de routine. À l’insu de Sibyl, son assistante commence à remettre en question les actions de Sibyl en appelant le médecin suppléant de Sibyl, Asa, et enfin la police. Cette nuit-là, Sibyl reçoit la visite de la police qui prend sa déposition. Sibyl engage rapidement un avocat par l’intermédiaire duquel elle apprend que l’État va la poursuivre à la fois pour pratique de la médecine sans permis et pour homicide involontaire. Lorsque l’autopsie est publiée, Sibyl commence à perdre une partie de sa confiance en sa propre innocence. Il semble que l’autopsie n’ait trouvé aucun signe d’accident vasculaire cérébral, mais a déterminé que Charlotte était décédée des suites d’une perte de sang directement liée à la césarienne pratiquée par Sibyl.
Le procès se transforme rapidement en un débat entre la science et la nature, se disputant la sécurité de l’accouchement à domicile. L’accusation affirme que Sibyl n’est pas qualifiée pour prodiguer des soins médicaux à une femme en travail et que sa profession a induit Charlotte et son mari en erreur en leur donnant un faux sentiment de sécurité. La défense affirme que Sibyl a moins de mortalité infantile et maternelle qu’un cabinet médical comparable et que Charlotte est en partie responsable de sa propre mort pour avoir dissimulé une partie de ses antécédents médicaux.
Au cours du procès, il s’avère que Sibyl tient un journal dans certains cahiers à la maison qui pourrait contenir ses impressions personnelles sur la nuit où Charlotte est morte. Le juge ordonne que les cahiers soient apportés au tribunal afin de déterminer s’ils doivent être remis aux procureurs. Connie, la fille de Sibyl qui a lu ces journaux, vole des passages particuliers des cahiers afin de protéger sa mère de ses propres paroles. Quelques jours plus tard, après que le juge a décidé que les cahiers n’avaient aucune incidence sur l’affaire. Sibyl est déclarée non coupable de l’accusation d’homicide involontaire.
Connie grandit pour devenir gynécologue, malgré la gifle que cela semble offrir au métier de sa mère. Connie estime qu’il est important de maintenir les voies de communication ouvertes entre la communauté médicale et les sages-femmes. Connie estime également que quelqu’un a une dette envers les femmes pour ce qui s’est passé la nuit de la mort de Charlotte Bedford. Connie ressent cela parce que sa mère a écrit dans son journal la nuit après la mort de Charlotte qu’elle avait senti le corps tressaillir. Charlotte était en vie lorsque Sibyl lui a coupé l’abdomen.
[ad_2]
Source link -2