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Cet ouvrage, publié en 1932, se déroule de 1646 à 1724. Le livre présente une autobiographie historique et non fictive de Gluckel de Hameln en tant que mère juive et femme d’affaires prospère. Elle donne naissance à quatorze enfants et en élève douze depuis l’enfance jusqu’aux fiançailles et au mariage à l’âge adulte et endure même la mort de certains. Gluckel est une femme traditionnelle du XVIIe siècle, fidèle et pleinement pieuse, qui établit la référence en matière de féminisme contemporain. Gluckel est un grand voyageur et un entrepreneur international à succès. Elle aide son mari à démarrer et à gérer une entreprise de prêt d’or, de pierres précieuses et d’argent en Allemagne, en Pologne, aux Pays-Bas, au Danemark et en France. À sa mort, elle reprend l’entreprise pendant qu’elle élève ses enfants pour qu’ils deviennent des hommes d’affaires, des commerçants et des érudits prospères. Le deuxième mari de Gluckel est le plus grand banquier de Lorraine, aussi riche et bien connecté qu’elle, mais apparemment dépourvu de son sens profond de foi et de paix.
Gluckel écrit les « Mémoires » en 1690 pour ses enfants « à la mort de votre bon père » afin de distraire son âme des fardeaux et de l’amertume de sa perte. Malgré sa perspective moraliste, ce livre autobiographique n’est pas un ouvrage moraliste. Gluckel est mère de douze enfants avec son mari Chayim. Elle en élève huit en tant que veuve après sa mort. Gluckel reprend ses affaires commerciales et développe avec succès une entreprise mondiale au XVIIe siècle. Elle recommande à ses enfants de servir Dieu de tout leur cœur, de réserver du temps pour étudier la Torah et d’être honnêtes envers les Juifs et les Gentils en termes d’argent et de biens. Elle propose trois « herbes magiques » à retenir, notamment la confiance en Dieu, l’espoir et la patience. Gluckel avoue être une pécheresse qui demande à Dieu de lui accorder le repentir. Elle résume les attentes de ses enfants dans l’histoire d’un oiseau dont le troisième oisillon promet de faire à ses enfants ce que l’oiseau fera pour lui quand il sera grand en portant le troisième oisillon en sécurité sur le rivage.
Cet ouvrage autobiographique de 295 pages comprend sept livres, plus une introduction de Robert Rosen, des illustrations et des notes de fin avec des descriptions historiques et des commentaires. Chaque livre comporte des sous-sections numérotées pour indiquer les entrées de journal périodiques. Ce sont des souvenirs de ses enfants et d’autres héritiers qui décrivent sa vie, son époque et ses expériences. Le livre est une fenêtre ouverte sur l’âme de cette très bonne femme alors qu’elle se souvient de sa vie. Elle est profondément attristée par la mort de son mari et ses écrits sont une thérapie pour son âme des fardeaux et de l’amertume de le perdre. Le format de l’œuvre est efficace dans la mesure où chaque section numérotée présente une pensée ou un groupe de sensibilités adapté à cette étape de sa vie. Les livres sont séparés par moments de sa vie avec, par exemple, le tome cinq consacré à « la maladie et la mort de votre père bien-aimé ».
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