10 nouveaux livres que nous recommandons cette semaine

CLASSIQUE CULTE, par Sloane Crosley. (Farrar, Straus & Giroux, 27 $.) Dans son deuxième roman, Crosley prête son esprit de marque à l’histoire d’une femme fiancée à contrecœur qui est toujours à la recherche d’un type d’amour particulier et insaisissable alors même qu’un culte de haut niveau organise une série de rencontres apparemment fortuites avec son ex- petits amis. « C’est un livre sur le regret, sur l’espoir d’avoir fait le bon choix, sur le pouvoir nocif de nos souvenirs, mais aussi sur l’une des pires choses qu’une femme puisse faire dans une grande ville : sortir avec des hommes », écrit Scaachi Koul dans sa critique. . « Les événements du roman sont conceptuels, mais les sentiments qu’il inspire sont assez universels. Il y a un épais suintement de malaise partout, un agréable sentiment de terreur, de désir et de compulsion.

LES ESSAIS NON RECUEILLIS D’ELIZABETH HARDWICK. (New York Review Books, papier, 18,95 $.) Ce volume d’œuvres inédites de la critique légendaire, beaucoup plus décontractées et idiosyncratiques que ses essais les plus connus, aborde tout, du soufflé au gruau aux scandales Kennedy, la fin de l’amour et les suicides féminins. « Étrange, surprenant, glissant et beau », c’est ainsi que la critique Katie Roiphe décrit la prose d’Elizabeth Hardwick. Selon Roiphe, « l’aperçu que cette collection donne de Hardwick, la femme, est intrigant. Nous faisons l’expérience de son esprit en fléchettes et en éclairs. Parcourir ces essais est ce que j’imagine que ce serait d’être debout à côté d’elle dans le coin d’une fête bondée, dans un nuage de fumée : parfois inconfortable, passionnant, alarmant.

JACKIE & MOI, par Louis Bayard. (Algonquin, 27,99 $.) Le 10e roman de Bayard imagine la cour de Jackie Bouvier et John F. Kennedy à travers les yeux d’un ami, le vrai Lem Billings, qui a rencontré Kennedy à l’adolescence et est devenu son fixateur et confident de longue date, divertissant Jackie et veillant sur elle tout en JFK a jeté les bases pour poursuivre ses ambitions politiques. « En apparence, c’est une histoire amusante et scintillante sur les Kennedy. Mais c’est aussi un prisme pour examiner l’amitié situationnelle et la solitude de la vie publique », écrit Elisabeth Egan dans sa dernière chronique Group Text. « Même si vous n’êtes pas un passionné de Kennedy – même si votre grand-mère n’avait pas de photo encadrée de JFK dans sa cuisine, comme la mienne en avait, aux côtés de celle du pape Jean-Paul II – cette histoire élégante, sexy et nostalgique persistera comme Le parfum signature de Jackie de Pall Malls et Château Krigler 12. C’est un bouquet compliqué d’amer et de sucré.

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